John a déménagé de Hamilton à Balsam Creek, en Ontario. quand il avait cinq ans. Il a grandi à l'écloserie provinciale qui  était dirigé par son père. Cet environnement a établi son intérêt pour le plein air à un jeune âge. A cette époque, ses peintures représentaient les animaux qu'il voyait dans les forêts de cet endroit isolé.

    à la fin des années 1960, il a développé un enthousiasme pour le parc Algonquin. Lorsque son fils avait 3 ans, la famille a campé dans les terrains de camping désignés le long de l'autoroute. 60 couloir. En 1970, ils ont commencé à faire des excursions en canot de deux semaines dans l'intérieur. Le permis intérieur de 16 jours coûtait 5,00 $ et vous n'aviez pas à soumettre de plan de voyage ni à vous trouver sur un lac ou un camping en particulier. Dans les années 60, il y avait moins de monde à l'intérieur et dans les campings le long de l'autoroute. 60.

    John et son épouse, Marie, ont tous deux pris une retraite anticipée et ont déménagé dans leur maison en bois rond dans la vallée de Beaver. John a décidé que la petite maison en rondins qu'il avait déménagée d'Aris et reconstruite dans la vallée avait besoin d'un ajout. Il a acheté des rondins d'une grange en rondins démolie près d'Owen Sound et les a fait déménager dans la vallée. La maison d'origine était en bois équarri.  Avec l'aide d'un ami, il a démonté le cadre et déplacé les bûches dans la maison et a procédé à l'achèvement de son ajout.  

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                                                                                              John a continué à s'intéresser au sentier Bruce qui n'était qu'à quelques minutes de la maison. Il a pris une part active au travail avec l'équipe de tronçonneuse pour enlever les arbres dangereux dans la section Beaver Valley du Conservatoire. Pendant de nombreuses années, lui et Marie ont apprécié le ski alpin, la raquette, la randonnée pédestre, l'entretien de leurs jardins et le canot à Algonquin.

    En 2016, ils ont estimé que le moment était venu de déménager dans une région avec plus de commodités, moins de neige et de meilleurs transports en commun. Ils ont déménagé dans une maison en rangée à Belleville, ce qui a permis à John de disposer de plus de temps libre. Cela lui a donné l'occasion de revenir à sa peinture.     Pendant plus de 50 ans, sa passion pour le parc provincial Algonquin n'a jamais diminué et il n'a jamais manqué une année sans faire une excursion en canot, ou deux, dans l'intérieur. Maintenant, il met tous ces souvenirs de son parc bien-aimé sur Canvas.

    Il continue de s'aventurer dans le parc avec Marie, son fils et sa belle-fille, ses petits-enfants, sa nièce et son neveu.  

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